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Free Guy

Titre : Free Guy

Réalisation : Shawn Levy

Bande annonce

Genre : Comédie, aventure, science-fiction

Durée : 1h55

 

 

Pour la petite histoire :

 

Ah ! Enfin ! Après des mois d'attente et de suspense, Free Guy a débarqué dans les salles de cinéma. Je sais que c'est très cliché de nos jours, mais j'adore les films avec Ryan Reynolds. Je sais aussi que Ryan Reynolds joue toujours du Ryan Reynolds, et qu'à force de films ça commence à devenir lassant... mais j'aime bien. Disons que c'est un petit plaisir coupable, voilà. Du coup, Ryan + scénario décalé = Éloïse fonce au cinéma ! (déjà que d'habitude il en faut moins que ça)

 

 

Résumé du film :

 

Un employé de banque, découvrant un jour qu’il n’est en fait qu’un personnage d’arrière-plan dans un jeu vidéo en ligne, décide de devenir le héros de sa propre histoire, quitte à la réécrire. Évoluant désormais dans un monde qui ne connaît pas de limites, il va tout mettre en œuvre pour le sauver à sa manière, avant qu’il ne soit trop tard…

 

 

Ce que j'en ai pensé :

 

Eeeeeehhhhhh, je suis mi-figue mi-raisin... J'ai envie de tout mon petit cœur de dire que j'ai adoré ce film, mais ce ne serait pas vraiment la vérité vraie. Désolée Guy.

 

Mon principal problème concernant ce film, c'est que le scénario choisi immanquablement la facilité, à chaque fois, et même avec la meilleure volonté du monde, au bout d'un moment... on ne peut pas ne pas le voir ! On dirait que les scénaristes ont brainstormés sans jamais aller vérifier la plausibilité de leurs idées. "Tiens, si le personnage appuie sur ce bouton, ça fait partir l'intrigue exactement là où on voulait aller... qui vote pour ? Adopté !" Pour de la science-fiction, c'est un peu rude.

 

Deuxième souci en perspective : que c'est niais. Oui, je le savais, j'avais vu la bande annonce et pensais savoir à quoi m'en tenir. Mais là... c'est niais. Et bon, j'aime bien niais, mais même moi j'ai mes limites. Est-ce que c'est Disney qui a produit ça ? Non ? Si. Ah bah voilà.

 

Enfin, et après promis j'arrête de râler, à l'intention de Taika Waititi... c'est sérieux ? Il s'est passé quoi ? Ils t'ont fait du chantage pour que tu joues comme ça ? C'était affreux, faut pas faire ça. Autant je suis béate devant Jojo Rabbit (doublement, pour l'acteur et le réalisateur), mais là... outch quoi. Il a beau avoir un rôle secondaire, c'était douloureux.

 

Voilà, ça c'est dit. Maintenant, passons aux points positifs, il y en a tout de même plusieurs et qui méritent d'être relevés... Ryaaaaan ! Non bon, euh. Oui, alors, la comédie. C'est une comédie, et moi j'ai ris, donc... c'est sympa ça. Free Guy nous offre un divertissement sympathique et certifié sans prise de tête (je pense que personne ne s'est pris la tête en faisant ce film alors autant en faire de même). C'est léger et Ryan joue Ryan, par contre vous étiez vraiment obligé de l'appeler Guy ? Heureusement que je regarde en VO... 

 

Nouveau point positif, typique de ma génération : les références pop culture ! Il y en a de plus en plus dans les films, en particulier dans le cinéma américain, et qu'est-ce que ça fonctionne bien. Après, c'est un pari, toujours un peu exclusif pour ceux qui ne les auront pas... mais bon, j'ai dû en manquer la moitié moi-même et ça ne m'a pas spécialement dérangé. Celles que j'ai repérées en tout cas m'ont bien fait rire.

 

Enfin, LE truc qui fait que Free Guy est quand même sympa à regarder : ses personnages (hormis celui de Taika Waititi, déso).  Ils sont niais, certes, mais ont a envie de leur faire des gros câlins. Ça fait du bien et ça donne envie de positiver, ce qui n'est pas de refus en ce moment. Moi j'aime passer de bons moments avec Ryan et ses petits compagnons !

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